mardi 4 août 2009

Berlin


Les traceurs de lune ont éparpillé sur les murs des éclats de siècle
Nous regardons le temps se défiger et les espaces s’agrandir encore plus loin.
Ils cognent sans marcher au pas, ils peignent et nous voilà.
Les sons frappés et jetés en pure piraterie
Nous ne dormons plus.
On voit les espaces, elle porte court ses cheveux en ruban, j’y pense en dansant, quand je n’y bois plus clair.
L’esprit souffle.
Et mêlé à nous, le septième que nous ne cesserons jamais d’aimer.
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