La nuit d’aspic, la louve, la mare d’astringence : laquelle
compte ?
Le texte est la naissance de l’autre espace, le commencement
des résonances, qu’elles s’épanouissent en fragments, qu’elles charpentent le
temps nouveau.
Cela posé, par quel biais le mot et le sens pénètrent-ils la
résine de l’âme, se fondent-ils dans la sève de l’être ?
Est-ce le
spectaculaire, l’impressionnant, le sang chaud du poème, la grandeur de
l’esprit, l’hugolien ou l’héroïsme de l’insignifiant, de ses marelles invécues, minuscules.
Entre les possédés et les saints.