Chagall, à demi endormi, qu’un coup de vent souffle
A l’étang mirifique
Mule et femme de chair quittent la plaine pour venir boire à la lune
Ivre, c’est bien ivre qu’il est de les regarder ainsi
Lascifs et chamarrés
Languissant de n’être pas encore centaures par leurs ébats consommés
Entendre, voir et peindre, un baiser sur la toile et le rêve de rêver
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