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En un mouvement tracé au mur du ciel, elle sort les couleurs de ses doigts de chair
Elle jaillit au son des arbres, des rides d’homme, des poses noires
Je dormais alors bien trop souvent la nuit
Et ne savais pas encore que ma peau serait un jour lavis
Sainte Marie mère des yeux
Regarde les médailles et les portraits miraculeux
Les crayons, les couleurs
Là-bas courbe l’amour et les dessins du vent
Les feuilles tombent des tables
Au lendemain et à l’hier
La voir gommer le monde et le repeindre en terre sienne
......
Encore.
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