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Pour un feu soufflant à moi depuis la vallée
La nuit borde et approche
De nuit
Je repense à la nuit où je te regardais sans cesser
Où je te regardais aux lueurs premières
De la nuit
Quand je n’avais de cesse de te regarder
Jusqu’aux derniers gris
Tons de nuit
Je me disais qu’on regarde bien la mer et les étoiles
Et que ton visage les valait tout autant
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Pour une fumée soufflée à moi depuis la vallée
Le refuge, le foyer
L’effet d’une route
La forêt aux toits lavés de brume
L’automne où le ciel figé en un gris de Manche rend la terre grasse et dure
Le beau métier d’être accrocheur d’étoiles
j'ai des envies de m'engouffrer dans la nuit après avoir lu cette échappée nocturne...
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