jeudi 17 septembre 2009

Hobart



On y arrive doucement, le soir se mérite autant qu’un repas.
Les pieds sur un sol plus dur à l’approche de la nuit, l’hiver n’est pas encore si lointain
Je suis déjà venu dans cette Tasmanie, dans ce Canada, dans ces terres andines mais j’avais oublié tout le prix de les marcher et de les chanter
Que ce soit par la voie des rivières ou par le bruit des forêts de mâts, la mer surveille et continue d’attendre tendrement

Ici, conquérir et s’agenouiller

Se taire et, tout le jour, prier

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire