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L’œil rond de la nuit s’écoule en faisceaux et fanes brillantes au tamis des bouleaux
Eux, les fantômes de pleine lune attendent des cavaliers d’Ems et des coursiers hagards
Lune d’après nuit
Quand tu fixais ta pupille dilatée sur nos guerres boueuses,
Que voyais-tu ?
lundi 21 septembre 2009
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