vendredi 14 mai 2010

Et alors...

Mercredi moi les choses que l'on ne dit jamais
jeudi c'est encore trop bleu pour se croire vivant
Les jours, des enfants finiront leur chocolat dans le noir du matin aux yeux lourds
Et ma vie sera à moi dans la brume où je les tiendrai par la main.
Une rue à traverser.
Rien ne sera plus simple que le vendredi qui sentira déjà les terrains verts, la foret, la mer, les océans qu'ils auront plein les yeux avant que de naître.
Rue de midi pour rentrer. L'odeur de la cuisine déjà tout autour de leurs petits nez à moucher.
Qui serai-je ? Un temps

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