Comme si j’avais perdu les mots en cherchant à t’oublier
J’ai voulu, là-bas, sur mon Armor, égarer les fils des Parques
Dans mon cœur sans cloison le temps s’égrène à rebours
L’idée avait affleuré qu’un peu de vent rendrait l’amour
Aux abords de dunes depuis bien longtemps effondrées
Je t’offre mon pays et mes voyages
Ils sont à moi
Seuls biens estimables
Chaud
RépondreSupprimerC'est beau ça mon Will
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