Les êtres durs
Les corps lents
Chutent de n'avoir pas pris pied sur la ville
Immense
Dans les cartes
Sur le bord des verres
Oh si loin que l'on regarde
L'amour tourne à vide
Et vide les peaux de chagrin
L'été jamais rattrapé des promesses et des regrets
L'âge en grand écart
Les promesses que je ne te fis jamais
Que tu entendis sans qu'elles fussent prononcées
On tisserait des liens
Que la chute lente de nos corps veillerait bientôt à transpercer
mardi 3 novembre 2009
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